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Ce cinquième album est une véritable odyssée mélodique. Le temps de douze chansons, le disque invite à une formidable croisière intersidérale où il est question de voie (voix ?) lactée, d'anges, de paranoïa, de nombres premiers, d'opéra, et de particules élémentaires... Comme souvent ici, les chansons offrent divers degrés de lecture. Un disque ambitieux, attachant, et inclassable, à l'image du parcours de son auteur qui depuis l'aube des années 2000, nous entraîne à chaque étape de sa carrière dans un univers artistique qui lui est propre.

L'empreinte indélébile laissée par Black Sabbath dans les consciences musicales collectives de nos groupes de métal et hard rock contemporains est indéniable. L'extravagant Ozzy, est donc de retour après une absence musicale de 7 ans, avec cet album studio.

Ce disque supportera en rougissant les superlatifs les plus élogieux : splendide pour les uns, il ne sera que bouleversant pour les autres. Un retour à la spontanéité pop.

Voici l'album sans doute le plus réussi de sa première période. Coltrane a choisi lui-même sa rythmique : Kenny Drew au piano et ses complices du Miles Davis Quintet, Paul Chambers et Philly Joe Jones, respectivement à la contrebasse et à la batterie. Le trompettiste maison Lee Morgan et le tromboniste Curtis Fuller ont été ajoutés. Coltrane a amené avec lui quatre compositions dont le fameux Blue Train : des thèmes simples et efficaces bien dans le style Blue Note de l'époque.